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Qualifiées de « Maple Revolutionaries » par le magazine The Economist en 2012, les grandes caisses de retraite publiques du Canada ont acquis une réputation enviable sur la scène internationale grâce à leurs succès – et à leur démarche unique en matière de gestion de placement. Une étude menée par le Boston Consulting Group (BCG) jette un regard probant sur l’impact et la taille des dix plus importantes caisses de retraite canadiennes, baptisées les « dix géantes », dont celle gérée par l’Office qui est en tête du peloton.

Aujourd’hui, collectivement, les dix géantes gèrent un actif supérieur à 1 100 milliards de dollars, un chiffre qui équivaut à plus de 60 % du PIB du Canada. Toutefois, d’après l’étude du BCG, la taille n’est pas le seul facteur qui les rend aussi fascinantes. C’est plutôt leur démarche de placement qui les distingue. Contrairement à d’autres, comme le souligne l’article, les caisses de retraite canadiennes gèrent leurs portefeuilles à l’interne et investissent leur actif directement, en partie pour économiser des frais de gestion externes. Grâce à l’importance de leurs portefeuilles et de leurs ressources, les dix géantes investissent aussi dans des catégories d’actif non traditionnelles comme les infrastructures et l’immobilier, parce que celles-ci procurent une diversification et s’inscrivent dans leur horizon de placement à long terme.

Voici quelques-unes des principales conclusions de l’étude du Boston Consulting Group :

  • L’actif sous gestion des dix géantes a triplé depuis 2003, et 80 % de cette croissance est attribuable aux rendements obtenus sur les placements.
  • Les dix géantes figurent parmi les plus grandes caisses de retraite du monde. Huit caisses figurent dans le palmarès des 100 premières mondiales et trois dans le palmarès des 20 premières mondiales.
  • Les caisses canadiennes comptent parmi celles qui investissent le plus dans les infrastructures et l’immobilier à l’échelle mondiale. Quatre d’entre elles figurent parmi les 20 principaux investisseurs mondiaux dans l’immobilier. Six d’entre elles figurent parmi les 20 principaux investisseurs mondiaux dans les infrastructures.
  • Elles ont de solides structures de gouvernance et sont gérées comme des sociétés professionnelles, ce qui leur permet d’agir au mieux des intérêts de leurs bénéficiaires. Les caisses de retraite canadiennes préconisent aussi de bonnes pratiques de gouvernance; elles améliorent ainsi, au bout du compte, l’efficience et l’efficacité des marchés de capitaux.
  • Elles emploient directement quelque 11 000 professionnels du placement dans les secteurs canadiens de la finance et de l’immobilier.
  • Elles ont investi environ 600 milliards de dollars dans des entreprises canadiennes, dont 149 milliards dans l’immobilier, les infrastructures et le capital-investissement.
  • Elles ont participé à certaines des transactions les plus importantes qui se sont déroulées sur la scène mondiale ces dernières années.

On peut consulter un communiqué de presse, un exemplaire de l’étude et une infographie qui font ressortir les principaux résultats.

L’étude fait suite à une première étude menée en 2013 par le Boston Consulting Group qu’on peut trouver ici.

Qualifiées de « Maple Revolutionaries » par le magazine The Economist en 2012, les grandes caisses de retraite publiques du Canada ont acquis une réputation enviable sur la scène internationale grâce à leurs succès – et à leur démarche unique en matière de gestion de placement. Une étude menée par le Boston Consulting Group (BCG) jette un regard probant sur l’impact et la taille des dix plus importantes caisses de retraite canadiennes, baptisées les « dix géantes », dont celle gérée par l'Office qui est en tête du peloton. Aujourd’hui, collectivement, les dix géantes gèrent un actif supérieur à 1 100 milliards de dollars, un chiffre qui équivaut à plus de 60 % du PIB du Canada. Toutefois, d’après l’étude du BCG, la taille n’est pas le seul facteur qui les rend aussi fascinantes. C’est plutôt leur démarche de placement qui les distingue. Contrairement à d'autres, comme le souligne l’article, les caisses de retraite canadiennes gèrent leurs portefeuilles à l’interne et investissent leur actif directement, en partie pour économiser des frais de gestion externes. Grâce à l’importance de leurs portefeuilles et de leurs ressources, les dix géantes investissent aussi dans des catégories d'actif non traditionnelles comme les infrastructures et l’immobilier, parce que celles-ci procurent une diversification et s’inscrivent dans leur horizon de placement à long terme. Voici quelques-unes des principales conclusions de l’étude du Boston Consulting Group : L’actif sous gestion des dix géantes a triplé depuis 2003, et 80 % de cette croissance est attribuable aux rendements obtenus sur les placements. Les dix géantes figurent parmi les plus grandes caisses de retraite du monde. Huit caisses figurent dans le palmarès des 100 premières mondiales et trois dans le palmarès des 20 premières mondiales. Les caisses canadiennes comptent parmi celles qui investissent le plus dans les infrastructures et l’immobilier à l’échelle mondiale. Quatre d’entre elles figurent parmi les 20 principaux investisseurs mondiaux dans l’immobilier. Six d’entre elles figurent parmi les 20 principaux investisseurs mondiaux dans les infrastructures. Elles ont de solides structures de gouvernance et sont gérées comme des sociétés professionnelles, ce qui leur permet d’agir au mieux des intérêts de leurs bénéficiaires. Les caisses de retraite canadiennes préconisent aussi de bonnes pratiques de gouvernance; elles améliorent ainsi, au bout du compte, l'efficience et l'efficacité des marchés de capitaux. Elles emploient directement quelque 11 000 professionnels du placement dans les secteurs canadiens de la finance et de l’immobilier. Elles ont investi environ 600 milliards de dollars dans des entreprises canadiennes, dont 149 milliards dans l’immobilier, les infrastructures et le capital-investissement. Elles ont participé à certaines des transactions les plus importantes qui se sont déroulées sur la scène mondiale ces dernières années. On peut consulter un communiqué de presse, un exemplaire de l'étude et une infographie qui font ressortir les principaux résultats. L’étude fait suite à une première étude menée en 2013 par le Boston Consulting Group qu’on peut trouver ici.

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