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16 novembre 2007

Le prix de l’offre de 3,6555 $ l’action représente une prime de 37 % par rapport au cours du titre d’AIAL tout juste avant la période de spéculation, en mai 2007, ayant précédé le dépôt de l’offre.

Auckland (Nouvelle-Zélande), le 16 novembre 2007 – L’Office d’investissement du régime de pensions du Canada (l’Office) a annoncé aujourd’hui les détails de son offre de prise de contrôle partielle des actions d’Auckland International Airport Limited (AIAL). Dans le cadre de cette offre entièrement en espèces, les actionnaires pourront recevoir 3,6555 $ par action d’AIAL, ce qui représente 22,2 fois le BAIIA d’Auckland International Airport Limited pour l’exercice 2007. 

Advenant l’acceptation de l’offre, la participation de l’Office dans AIAL passera à 40 %. L’Office prendra ensuite les mesures raisonnables en son pouvoir afin que sa proposition de fusion soit soumise aux actionnaires dans les plus brefs délais possibles après l’acceptation de l’offre. 

Selon Mark Wiseman, vice-président principal – Placements privés, Office d’investissement du RPC, « le prix offert par l’Office aux actionnaires d’AIAL représente une prime de 37 % par rapport au cours de l’action tout juste avant la période de spéculation qui a précédé le dépôt de l’offre. 

« Cette offre est très intéressante pour les actionnaires, comparativement aux cours et aux ratios boursiers historiques d’AIAL, aux ratios boursiers auxquels ont été conclues des opérations semblables et aux évaluations des analystes. Nous sommes convaincus que les actionnaires reconnaîtront la valeur de cette offre et l’accepteront. 

« Si nous atteignons notre objectif d’acquérir 40 % des actions, nous collaborerons avec les autres actionnaires pour maximiser la valeur à long terme d’AIAL. Nous apporterons au conseil d’administration notre savoir-faire en gestion d’aéroports internationaux et lui présenterons une proposition de fusion qui, advenant son acceptation, entraînera une optimisation de la structure du capital qui profitera à l’ensemble des parties prenantes d’AIAL. » 

L’Office croit que les actionnaires d’AIAL n’auraient pu souhaiter un meilleur dénouement du processus long et exhaustif au cours duquel plusieurs parties ont entrepris des démarches auprès d’AIAL. L’Office avait d’abord approché AIAL en juin et effectué par la suite une vérification préalable détaillée avant d’amorcer des pourparlers avec la direction et le conseil d’administration de la société. 

Pour se conformer à certains règlements canadiens régissant ses investissements, l’Office signera une entente pour limiter ses votes à l’égard des résolutions portant sur l’élection d’administrateurs à 30 % des votes pouvant être exprimées. L’entente s’appliquera à la participation de l’Office dans AIAL et à tout nouveau groupe issu d’une fusion, jusqu’à sa modification ou son annulation prévue par les modalités. 

Pour que l’offre de prise de contrôle soit acceptée, les actionnaires d’AIAL doivent, en plus d’approuver que la participation de l’Office dans la société passe à 40 %, donner expressément leur accord pour que cette participation soit inférieure à 50 %. Un formulaire d’approbation sera envoyé aux actionnaires avec le document de l’offre. L’offre d’acquisition est également subordonnée à l’approbation du Overseas Investment Office (OIO) de Nouvelle-Zélande. Dans la mesure où l’Office en obtient, les approbations pour faire passer sa participation à plus de 40 % seront comptabilisées au prorata. Tout versement de dividendes par AIAL après la date de la présente annonce aura pour effet de réduire le prix de l’offre par action du montant du dividende. 

L’offre d’acquisition devrait être postée aux actionnaires le 14 décembre, ou vers cette date, et sera valable pendant une période de 90 jours. 

Dès que possible après l’acceptation de l’offre de prise de contrôle, l’Office prendra les mesures raisonnables afin que sa proposition de fusion soit soumise aux actionnaires d’AIAL. Deux filiales en propriété exclusive de l’Office, NZ Airport NC Limited (qui sera l’initiateur dans le cadre de l’offre de prise de contrôle partielle) et NZ Airport HCP Limited, ont décidé, lors d’assemblées de leurs actionnaires, d’aller de l’avant avec la fusion, dans le cadre de laquelle elles émettront des titres agrafés selon les modalités indicatives ci-dessous. 

Une autre filiale en propriété exclusive de l’Office, NZ Airport HC Limited, participera à la proposition de fusion dans le cadre de laquelle elle fusionnera avec AIAL. 

Selon le projet de fusion, les actionnaires restants d’AIAL recevront pour chaque action d’AIAL un montant en espèces et un titre agrafé composé d’une action et d’un billet convertible. La contrepartie indicative aura une valeur totale de 3,6555 $ par action d’AIAL. Cette contrepartie comprend un billet convertible d’une valeur nominale de 3,35 $, une action ordinaire dont le prix à l’émission sera de 0,1055 $ et un montant en espèce de 0,20 $ (moins tout dividende versé avant la fusion). 

La structure du titre agrafé permettra au nouveau groupe aéroportuaire de verser des distributions plus élevées que celles que pouvait offrir AIAL, au moyen d’intérêts, de rachats de billets convertibles ou de dividendes accumulés. L’Office prévoit que les distributions représenteront un rendement compris entre 7,0 % et 7,5 % environ la première année, comparativement à un rendement en dividendes versés de 2,7 % actuellement pour les actions d’AIAL. 

La nouvelle structure optimisée du capital comprenant des titres agrafés permettra d’obtenir une liquidité continuelle pour ces titres grâce à leur inscription sur des marchés publics. Une demande d’inscription des titres agrafés sera présentée aux Bourses de Nouvelle-Zélande et d’Australie. 

« La structure que nous proposons dans le cadre du projet de fusion sera efficiente sur le plan financier. Le nouveau groupe sera en mesure de verser des distributions plus élevées qu’à l’heure actuelle. Il pourra maintenir un niveau d’endettement efficient et durable, semblable à celui utilisé par d’autres sociétés d’infrastructures dans le monde pour se financer. AIAL pourra ainsi répondre à tous ses besoins d’expansion des dépenses en immobilisations », a expliqué M. Wiseman. 

Une nouvelle de titres d’emprunts bancaires sera mise en place au moment de la fusion. Le niveau d’endettement n’augmentera que dans la mesure où la société disposera des flux de trésorerie nécessaires. Standard & Poor’s a examiné attentivement la structure proposée et lui a accordée la cote BBB- (stable), qui est une cote de premier ordre. Le ratio initial dette nette externe/valeur de l’entreprise sera modeste à 23 % et l’Office ne s’attend pas à ce qu’il dépasse 40 % à long terme. Ce niveau d’endettement est inférieur à celui de nombreuses sociétés aéroportuaires australiennes. 

Comme pour bon nombre d’autres infrastructures, dans le cadre de la structure du projet de fusion, les emprunts bancaires de premier rang seront garantis par une structure dite « de cloisonnement » (ring fence security structure). Le coût global du capital sera ainsi moins élevé, ce qui permettra aux actionnaires d’obtenir un rendement immédiat et des rendements plus élevés à l’avenir. 

La proposition de fusion est subordonnée à l’obtention de toutes les approbations nécessaires des actionnaires, à une décision favorable du Inland Revenue Department (IRD) et à l’approbation de l’OIO. 

M. Wiseman a déclaré que la proposition de fusion a tenu compte des résultats des processus de consultation publique menés par le Manukau City Council et le Auckland City Council, qui ont notamment manifesté le désir de conserver leur participation proportionnelle s’ils le souhaitent. 

Les administrateurs désignés par l’Office au conseil d’administration de la nouvelle société après la fusion seront le vice-président et chef des placements en infrastructures de l’Office, Graeme Bevans, un administrateur aguerri comptant une vaste expérience de la gestion d’aéroports, notamment la surveillance de l’acquisition de participations accrues et de la gestion des placements dans les aéroports de Melbourne, de Brisbane et du Territoire du Nord et des participations dans les aéroports de Perth et d’Adelaide. Les deux autres administrateurs nommés par l’Office seront probablement un administrateur expérimenté de renommée mondiale possédant un savoir-faire pertinent dans le domaine de l’aéronautique ou des installations aéroportuaires et un éminent administrateur néo-zélandais. 

« Selon nous, la vaste expérience que possède l’équipe de l’Office dans les infrastructures, notamment les aéroports, rehaussera l’expertise actuelle d’AIAL, et permettra de saisir des occasions pour former des partenariats stratégiques d’envergure internationale », a ajouté M. Wiseman. 

« Notre horizon de placement pour les infrastructures comme l’aéroport d’Auckland dépasse 25 ans, ce qui nous permet de trouver un juste équilibre entre les intérêts des différentes parties prenantes et de nous engager sur la voie de la viabilité et de la croissance à long terme. Dans le cadre de notre stratégie d’acquisition partielle et de fusion, nous collaborerons avec la direction pour apporter un soutien continu au plan directeur à long terme de l’aéroport et investir régulièrement pour améliorer les éléments d’actifs corporels de l’aéroport en ciblant d’abord l’aménagement des immeubles et des routes et les services offerts », a conclu M. Wiseman.


 Au sujet de l’Office d’investissement du RPC 

L’Office place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le Régime de pensions du Canada (RPC) n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Au 30 septembre 2007, la caisse du RPC s’élevait à 121,3 milliards de dollars canadiens (165,9 milliards de dollars néo-zélandais) dont 2,5 milliards (3,4 milliards) représentent des placements en infrastructures. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. 

Son siège social se trouve à Toronto et sa gouvernance et sa gestion sont distinctes de celles du Régime de pensions du Canada. Il n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. 

UBS a agi à titre de conseiller financier et Bell Gully, à titre de conseiller juridique auprès de l’Office.

Joel Kranc
Directeur des communications 
416 874-5163
 jkranc@cppib.ca

{:en}November 16, 2007 Offer price of $3.6555 per share, represents a premium of 37% over AIAL’s trading price just prior to pre-takeover speculation in May 2007. AUCKLAND, NZ (November 16, 2007): The Canada Pension Plan Investment Board (CPPIB) today announced details of a partial takeover offer for Auckland International Airport Limited (AIAL) shares. The all-cash partial takeover offer will offer shareholders consideration of $3.6555 per AIAL share, which represents a value of 22.2x Auckland International Airport Limited’s FY2007 EBITDA. 

If successful, the offer will increase CPPIB’s shareholding in AIAL to 40%. CPPIB would then look to take all reasonable steps within its control to ensure that, as soon as practicable after completion of the offer, a CPPIB-led amalgamation proposal will be presented to all AIAL shareholders. 

Mark Wiseman, Senior Vice President - Private Investments for CPPIB said, “The price that CPPIB is offering to AIAL shareholders is a premium of 37% over the company’s trading price just prior to pre-takeover speculation.” 

“This offer is highly attractive for shareholders when compared to AIAL’s past trading prices, transaction and trading multiples and analyst valuations. We are confident that shareholders will recognise the value in this offer and accept it. 

“Should we achieve our objective of acquiring 40% of the shares, we will work with other shareholders to maximise the long-term value of the AIAL business. We intend to introduce additional international airport expertise to the Board, and will present an amalgamation proposal to the Board that, if successful, will result in a new optimised capital structure to benefit all AIAL stakeholders.” 

CPPIB believes that the partial takeover offer is the best result for AIAL shareholders following a lengthy, comprehensive process during which numerous parties have approached AIAL. CPPIB initially approached AIAL in June, subsequently undertook detailed due diligence, and has had comprehensive discussions with the management and Board of the company. 

In order to comply with certain Canadian regulations governing its investments, CPPIB will enter into a deed limiting its votes on resolutions to elect Directors to 30% of the votes able to be cast. That deed will apply to CPPIB’s holding in AIAL and to its holding in any new group following an amalgamation, until varied or discharged in accordance with the terms of the deed. 

In addition to receiving acceptances to take CPPIB’s holding to 40%, the takeover offer is conditional on separate approval being obtained from AIAL shareholders to CPPIB holding less than 50% of AIAL. An approval form will be sent to shareholders with the offer document. The takeover offer is also conditional on Overseas Investment (OIO) approval being obtained. To the extent that CPPIB receives acceptances that would take its holding above 40%, acceptances will be subject to pro rata uptake. Any dividends paid by AIAL after the date of this announcement will reduce the offer price per share by the dividend amount. 

The takeover offer is expected to be mailed to shareholders on or about December 14 and will remain open for a period of 90 days. 

As soon as possible after a successful completion of the takeover offer, CPPIB will take all reasonable steps to ensure that an amalgamation proposal is placed in front of AIAL shareholders. Two wholly-owned subsidiaries of CPPIB, NZ Airport NC Limited (which will be the offeror under the partial takeover) and NZ Airport HCP Limited have, at meetings of their shareholders, resolved to pursue the amalgamation under which they will issue stapled securities on the indicative terms described below. 

Another wholly-owned CPPIB subsidiary, NZ Airport HC Limited has resolved to participate in the proposed amalgamation as the company into which AIAL will be amalgamated. 

Under the proposed amalgamation, remaining AIAL shareholders will receive for each AIAL share cash and a stapled security comprised of a share and a convertible note. The indicative amalgamation consideration will have a total value of $3.6555 per AIAL share. The indicative components of that consideration are a convertible note with a face value of $3.35, an ordinary share with an issue price of $0.1055 and cash of $0.20 (less the amount of any dividends paid prior to the amalgamation). 

The stapled security structure will allow the new airport group to pay out a higher yield than AIAL has previously been able to, with returns being realised by way of interest, convertible note redemptions and/or unimputed dividends. CPPIB anticipates that the first year yield would be approximately 7.0%-7.5%, compared with a current fully imputed yield on AIAL shares of 2.7%. 

The new optimised capital structure with stapled securities will also provide an opportunity for ongoing liquidity through continued public markets listings. An application will be made to list the stapled securities on the NZX and ASX. 

“The structure we are proposing under the amalgamation provides for ongoing balance sheet efficiency. The stapled security structure will allow the new group to pay out a higher yield than is currently possible.  The optimised capital structure will enable the new group to maintain its leverage at efficient and sustainable levels, similar to those used to finance other leading infrastructure companies worldwide. And, it will also allow AIAL to meet all of its capital expansion needs” said Mr. Wiseman. 

A new bank debt structure will be put in place at the time of the proposed amalgamation. Gearing will increase only to the extent that cashflows of the business grow to support it. The proposed bank debt structure has been extensively reviewed by Standard & Poor’s and has received an indicative rating of BBB- (stable), which is investment grade. The initial external net debt to enterprise value will be a modest 23% and CPPIB does not expect this to exceed 40% over the long term. These debt levels are lower than those of many Australian airport companies. 

Like many other infrastructure assets, under the proposed amalgamation structure, the senior bank debt will be secured by a ring fence security structure. The ring fence structure will result in a lower overall cost of capital, therefore allowing for both immediate and increased future returns for shareholders. 

The proposed amalgamation will be conditional on all necessary shareholder approvals being obtained, a favourable Inland Revenue Department (IRD) ruling and OIO approval. 

Mr. Wiseman said the amalgamation proposal has taken into account the outcomes of Manukau City Council and Auckland City Council’s respective public consultation processes. In particular, the proposal fully accommodates the councils’ stated desires to retain their proportionate stakes, should they wish to maintain them. 

Directors nominated by CPPIB to the board of the new company following the proposed amalgamation will include CPPIB’s Vice President - Head of Infrastructure, Graeme Bevans, a seasoned director with extensive airport experience, including overseeing the acquisition of increased shareholdings in and asset management of investments in Melbourne Airport, Brisbane Airport, Northern Territory Airport and stakes in Perth and Adelaide Airports. The remaining two CPPIB nominated directors will likely be a world-class, experienced director with relevant aeronautical or airport expertise and a prominent New Zealand director. 

“The CPPIB team possesses a wealth of infrastructure experience, including specific airport experience, that we believe would enhance AIAL’s existing expertise by providing international scope and opportunities for future strategic partnerships,” said Mr. Wiseman. 

Mr. Wiseman concluded, “Our investment horizon for infrastructure assets such as Auckland Airport is upwards of 25 years, which allows us to balance multiple stakeholder interests and commit to long-term sustainability and growth. Through our partial takeover and proposed amalgamation strategy, we will work with management to provide ongoing support for the airport’s long-term Master Plan and continued investment to improve the Airport’s physical assets by initially focusing improvements on property development, route development and retail offerings.” 
About CPP Investment Board
The CPP Investment Board invests the funds not needed by the Canada Pension Plan to pay current benefits on behalf of 17 million Canadian contributors and beneficiaries. As at September 30, 2007, the CPP Fund was C$121.3 billion (NZ$165.9 billion) of which C$2.5 billion (NZ$3.4 billion) represents infrastructure investments. In order to build a diversified portfolio of CPP assets, the CPP Investment Board is investing in publicly-traded stocks, private equities, real estate, inflation-linked bonds, infrastructure and fixed income. 

Based in Toronto, the CPP Investment Board is governed and managed independently of the Canada Pension Plan and at arm's length from governments. 

UBS has acted as financial advisor and Bell Gully has acted as legal advisor to CPPIB. For further information contact: Joel Kranc
Manager Communications 
(416) 874-5163 
jkranc@cppib.ca {:}{:fr}16 novembre 2007 Le prix de l’offre de 3,6555 $ l’action représente une prime de 37 % par rapport au cours du titre d’AIAL tout juste avant la période de spéculation, en mai 2007, ayant précédé le dépôt de l’offre. Auckland (Nouvelle-Zélande), le 16 novembre 2007 – L’Office d’investissement du régime de pensions du Canada (l’Office) a annoncé aujourd’hui les détails de son offre de prise de contrôle partielle des actions d’Auckland International Airport Limited (AIAL). Dans le cadre de cette offre entièrement en espèces, les actionnaires pourront recevoir 3,6555 $ par action d’AIAL, ce qui représente 22,2 fois le BAIIA d’Auckland International Airport Limited pour l’exercice 2007. 

Advenant l’acceptation de l’offre, la participation de l’Office dans AIAL passera à 40 %. L’Office prendra ensuite les mesures raisonnables en son pouvoir afin que sa proposition de fusion soit soumise aux actionnaires dans les plus brefs délais possibles après l’acceptation de l’offre. 

Selon Mark Wiseman, vice-président principal – Placements privés, Office d’investissement du RPC, « le prix offert par l’Office aux actionnaires d’AIAL représente une prime de 37 % par rapport au cours de l’action tout juste avant la période de spéculation qui a précédé le dépôt de l’offre. 

« Cette offre est très intéressante pour les actionnaires, comparativement aux cours et aux ratios boursiers historiques d’AIAL, aux ratios boursiers auxquels ont été conclues des opérations semblables et aux évaluations des analystes. Nous sommes convaincus que les actionnaires reconnaîtront la valeur de cette offre et l’accepteront. 

« Si nous atteignons notre objectif d’acquérir 40 % des actions, nous collaborerons avec les autres actionnaires pour maximiser la valeur à long terme d’AIAL. Nous apporterons au conseil d’administration notre savoir-faire en gestion d’aéroports internationaux et lui présenterons une proposition de fusion qui, advenant son acceptation, entraînera une optimisation de la structure du capital qui profitera à l’ensemble des parties prenantes d’AIAL. » 

L’Office croit que les actionnaires d’AIAL n’auraient pu souhaiter un meilleur dénouement du processus long et exhaustif au cours duquel plusieurs parties ont entrepris des démarches auprès d’AIAL. L’Office avait d’abord approché AIAL en juin et effectué par la suite une vérification préalable détaillée avant d’amorcer des pourparlers avec la direction et le conseil d’administration de la société. 

Pour se conformer à certains règlements canadiens régissant ses investissements, l’Office signera une entente pour limiter ses votes à l’égard des résolutions portant sur l’élection d’administrateurs à 30 % des votes pouvant être exprimées. L’entente s’appliquera à la participation de l’Office dans AIAL et à tout nouveau groupe issu d’une fusion, jusqu’à sa modification ou son annulation prévue par les modalités. 

Pour que l’offre de prise de contrôle soit acceptée, les actionnaires d’AIAL doivent, en plus d’approuver que la participation de l’Office dans la société passe à 40 %, donner expressément leur accord pour que cette participation soit inférieure à 50 %. Un formulaire d’approbation sera envoyé aux actionnaires avec le document de l’offre. L’offre d’acquisition est également subordonnée à l’approbation du Overseas Investment Office (OIO) de Nouvelle-Zélande. Dans la mesure où l’Office en obtient, les approbations pour faire passer sa participation à plus de 40 % seront comptabilisées au prorata. Tout versement de dividendes par AIAL après la date de la présente annonce aura pour effet de réduire le prix de l’offre par action du montant du dividende. 

L’offre d’acquisition devrait être postée aux actionnaires le 14 décembre, ou vers cette date, et sera valable pendant une période de 90 jours. 

Dès que possible après l’acceptation de l’offre de prise de contrôle, l’Office prendra les mesures raisonnables afin que sa proposition de fusion soit soumise aux actionnaires d’AIAL. Deux filiales en propriété exclusive de l’Office, NZ Airport NC Limited (qui sera l’initiateur dans le cadre de l’offre de prise de contrôle partielle) et NZ Airport HCP Limited, ont décidé, lors d’assemblées de leurs actionnaires, d’aller de l’avant avec la fusion, dans le cadre de laquelle elles émettront des titres agrafés selon les modalités indicatives ci-dessous. 

Une autre filiale en propriété exclusive de l’Office, NZ Airport HC Limited, participera à la proposition de fusion dans le cadre de laquelle elle fusionnera avec AIAL. 

Selon le projet de fusion, les actionnaires restants d’AIAL recevront pour chaque action d’AIAL un montant en espèces et un titre agrafé composé d’une action et d’un billet convertible. La contrepartie indicative aura une valeur totale de 3,6555 $ par action d’AIAL. Cette contrepartie comprend un billet convertible d’une valeur nominale de 3,35 $, une action ordinaire dont le prix à l’émission sera de 0,1055 $ et un montant en espèce de 0,20 $ (moins tout dividende versé avant la fusion). 

La structure du titre agrafé permettra au nouveau groupe aéroportuaire de verser des distributions plus élevées que celles que pouvait offrir AIAL, au moyen d’intérêts, de rachats de billets convertibles ou de dividendes accumulés. L’Office prévoit que les distributions représenteront un rendement compris entre 7,0 % et 7,5 % environ la première année, comparativement à un rendement en dividendes versés de 2,7 % actuellement pour les actions d’AIAL. 

La nouvelle structure optimisée du capital comprenant des titres agrafés permettra d’obtenir une liquidité continuelle pour ces titres grâce à leur inscription sur des marchés publics. Une demande d’inscription des titres agrafés sera présentée aux Bourses de Nouvelle-Zélande et d’Australie. 

« La structure que nous proposons dans le cadre du projet de fusion sera efficiente sur le plan financier. Le nouveau groupe sera en mesure de verser des distributions plus élevées qu’à l’heure actuelle. Il pourra maintenir un niveau d’endettement efficient et durable, semblable à celui utilisé par d’autres sociétés d’infrastructures dans le monde pour se financer. AIAL pourra ainsi répondre à tous ses besoins d’expansion des dépenses en immobilisations », a expliqué M. Wiseman.  Une nouvelle de titres d’emprunts bancaires sera mise en place au moment de la fusion. Le niveau d’endettement n’augmentera que dans la mesure où la société disposera des flux de trésorerie nécessaires. Standard & Poor’s a examiné attentivement la structure proposée et lui a accordée la cote BBB- (stable), qui est une cote de premier ordre. Le ratio initial dette nette externe/valeur de l’entreprise sera modeste à 23 % et l’Office ne s’attend pas à ce qu’il dépasse 40 % à long terme. Ce niveau d’endettement est inférieur à celui de nombreuses sociétés aéroportuaires australiennes. 

Comme pour bon nombre d’autres infrastructures, dans le cadre de la structure du projet de fusion, les emprunts bancaires de premier rang seront garantis par une structure dite « de cloisonnement » (ring fence security structure). Le coût global du capital sera ainsi moins élevé, ce qui permettra aux actionnaires d’obtenir un rendement immédiat et des rendements plus élevés à l’avenir. 

La proposition de fusion est subordonnée à l’obtention de toutes les approbations nécessaires des actionnaires, à une décision favorable du Inland Revenue Department (IRD) et à l’approbation de l’OIO. 

M. Wiseman a déclaré que la proposition de fusion a tenu compte des résultats des processus de consultation publique menés par le Manukau City Council et le Auckland City Council, qui ont notamment manifesté le désir de conserver leur participation proportionnelle s’ils le souhaitent. 

Les administrateurs désignés par l’Office au conseil d’administration de la nouvelle société après la fusion seront le vice-président et chef des placements en infrastructures de l’Office, Graeme Bevans, un administrateur aguerri comptant une vaste expérience de la gestion d’aéroports, notamment la surveillance de l’acquisition de participations accrues et de la gestion des placements dans les aéroports de Melbourne, de Brisbane et du Territoire du Nord et des participations dans les aéroports de Perth et d’Adelaide. Les deux autres administrateurs nommés par l’Office seront probablement un administrateur expérimenté de renommée mondiale possédant un savoir-faire pertinent dans le domaine de l’aéronautique ou des installations aéroportuaires et un éminent administrateur néo-zélandais. 

« Selon nous, la vaste expérience que possède l’équipe de l’Office dans les infrastructures, notamment les aéroports, rehaussera l’expertise actuelle d’AIAL, et permettra de saisir des occasions pour former des partenariats stratégiques d’envergure internationale », a ajouté M. Wiseman. 

« Notre horizon de placement pour les infrastructures comme l’aéroport d’Auckland dépasse 25 ans, ce qui nous permet de trouver un juste équilibre entre les intérêts des différentes parties prenantes et de nous engager sur la voie de la viabilité et de la croissance à long terme. Dans le cadre de notre stratégie d’acquisition partielle et de fusion, nous collaborerons avec la direction pour apporter un soutien continu au plan directeur à long terme de l’aéroport et investir régulièrement pour améliorer les éléments d’actifs corporels de l’aéroport en ciblant d’abord l’aménagement des immeubles et des routes et les services offerts », a conclu M. Wiseman.


 Au sujet de l’Office d’investissement du RPC 

L’Office place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le Régime de pensions du Canada (RPC) n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Au 30 septembre 2007, la caisse du RPC s’élevait à 121,3 milliards de dollars canadiens (165,9 milliards de dollars néo-zélandais) dont 2,5 milliards (3,4 milliards) représentent des placements en infrastructures. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. 

Son siège social se trouve à Toronto et sa gouvernance et sa gestion sont distinctes de celles du Régime de pensions du Canada. Il n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. 

UBS a agi à titre de conseiller financier et Bell Gully, à titre de conseiller juridique auprès de l’Office. Joel Kranc
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