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10 décembre 2007

Le 10e anniversaire des réformes du RPC souligné à l’occasion d’une conférence de lInstitut C.D. Howe aujourdhui

Toronto (Ontario), le 10 décembre 2007 — L’Office d’investissement du RPC, organisme de gestion de placements chargé d’investir l’actif de la caisse de retraite nationale du Canada, a souligné aujourd’hui la réussite des réformes du Régime de pensions du Canada (RPC) adoptées en 1997 et la solidité de la structure de gouvernance unique dont il s’est doté. Les commentaires ont été formulés aujourd’hui à l’occasion d’une conférence de l’Institut C.D. Howe, à Toronto, marquant le 10e anniversaire des réformes du RPC. 

Dans son allocution d’ouverture, David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du RPC, a affirmé que les réformes du RPC adoptées au milieu des années 90 sont une réalisation audacieuse et visionnaire citée en exemple dans le monde entier. « La caisse du RPC est passée d’un portefeuille hérité d’une valeur de 35 milliards de dollars, composé de d’obligations gouvernementales, à un portefeuille très diversifié dont l’actif, placé pour le compte de 17 millions de travailleurs et de retraités du Canada, s’élève à plus de 121 milliards de dollars », explique-t-il. 

M. Denison a aussi expliqué que des pays du monde entier ont étudié le modèle canadien afin de trouver des solutions aux difficultés auxquelles fait face leur propre régime de retraite. « La situation actuelle, les besoins et le désir de changement de ces pays en ce qui a trait à leur régime de retraite diffèrent, a-t-il fait remarquer, mais tous reconnaissent la rigueur et l’intégrité qui caractérisent les réformes adoptées au Canada, de même que leur réussite. Les décideurs qui ont élaboré les judicieuses réformes du RPC doivent se réjouir de constater que, 10 ans plus tard, leur travail est une référence dans le monde entier. » 

Gail Cook-Bennett, présidente du conseil fondatrice et présidente du conseil actuelle de l’Office d’investissement du RPC, a aussi pris la parole durant la conférence. Elle a rappelé la mission énoncée par les artisans de la réforme en 1997 et a parlé du modèle de gouvernance novateur de l’Office. « Cette mission, à l’origine, n’était pas de créer un modèle de gouvernance de renommée mondiale, mais un organisme de placement de premier ordre, capable de rivaliser avec les leaders du secteur privé dans le respect des obligations redditionnelles rigoureuses du secteur public », a-t-elle affirmé. 

Mme Cook-Bennett a également décrit les principales caractéristiques ayant contribué à la réussite du modèle de gouvernance : l’exercice des activités de l’Office sans lien de dépendance avec les gouvernements, une équipe de direction expérimentée qui relève d’un conseil d’administration indépendant et non du gouvernement, la clarté du mandat lié exclusivement au placement et un degré élevé de transparence. De plus, l’Office investit les cotisations versées au RPC, et non des recettes fiscales. 

Ces éléments constituent, selon Mme Cook-Bennett, les principales différences entre le régime de retraite national du Canada et les fonds souverains créés ailleurs dans le monde. L’Office d’investissement du RPC ne correspond donc aucunement aux définitions de fonds souverain. « Ces différences deviendront déterminantes au cours des mois et des années à venir, puisque les gouvernements de nombreux pays songent à imposer des mesures plus strictes pour les placements étrangers, en particulier pour les fonds d’État, explique Mme Cook-Bennett. Le fait que le Régime de pensions du Canada se porte aussi bien est à la fois un hommage aux réformes et, par le fait même, à leurs artisans du milieu des années 90, et un avantage indéniable pour le Canada. » 


L’Office d’investissement du RPC 
L’Office place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le Régime de pensions du Canada (RPC) n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. L’Office est responsable devant le Parlement du Canada et les ministres des finances fédéral et provinciaux. Son siège social se trouve à Toronto et sa gouvernance et sa gestion sont distinctes de celles du Régime de pensions du Canada. Il n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Au 30 septembre 2007, la caisse du RPC s’élevait à 121,3 milliards de dollars. Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’Office, consultez le site www.oirpc.ca.

Joel Kranc
Directeur des communications 
416 874-5163
 jkranc@cppib.ca

{:en}December 10, 2007 Tenth Anniversary of CPP Reforms Marked at C.D. Howe Conference Today TORONTO, ON (December 10, 2007) — The CPP Investment Board, the investment management organization that invests Canada’s national pension fund assets, today highlighted the success of the Canada Pension Plan reforms of 1997 and the strength of the CPP Investment Board’s unique governance structure. The comments were made today at a C.D. Howe Institute conference in Toronto that marked the tenth anniversary of the CPP reforms. 

In his opening address, David Denison, CPP Investment Board President and Chief Executive Officer, said, “The CPP reforms of the mid-nineties stand as a bold and visionary achievement that has become a model for pension reform around the world. The CPP Fund has grown from a legacy portfolio of more than $35 billion in government securities to what is now a broadly diversified portfolio of more than $121 billion invested on behalf of 17 million working and retired Canadians.” 

Mr. Denison also spoke about how nations around the globe have examined Canada’s pension model in search of solutions to their own challenges. “These countries have different starting points for pension reform, different needs and different appetites for change. But they all acknowledge the thoroughness of the Canadian approach, the integrity of the Canadian model and the success of the CPP reforms. It must be gratifying for the policymakers who devised the thoughtful formula for the reforms of the CPP to learn that their work is being held up as the gold standard for the world 10 years later.” 

Also speaking at the conference was the founding and current chairperson of the CPP Investment Board, Dr. Gail Cook-Bennett. In her remarks, Dr. Cook-Bennett discussed the mission set out by the reformers in 1997 and the CPP Investment Board’s innovative governance model. “That mission was not just to implement a world-class governance model, but to build a world-class investment organization – an investment organization able to compete with the very best of the best in the private sector, while maintaining an extraordinary degree of public accountability.” 

Dr. Cook-Bennett also outlined a number of key features of the governance model: an independent, arm’s-length relationship with governments; an experienced management team that reports to an independent Board of Directors, not governments; a clarity of purpose through a singular, investment-only mandate; and a high level of transparency in operations. Further, the CPP Investment Board invests CPP contributions, not tax revenues. 

She cited these elements as among the main differences between Canada’s national pension fund and the Sovereign Wealth Funds that are emerging around the world. Accordingly, the CPP Investment Board is not by any definition a Sovereign Wealth Fund.  



“These differences will become important in the months and years ahead as governments around the world contemplate the imposition of more stringent foreign investment measures especially against government-sponsored funds.” “The remarkable health of the Canada Pension Plan is a tribute to the reforms – and the reformers – of the mid-nineties, and is a great advantage for Canada,” said Dr. Cook-Bennett. 

 CPP Investment Board 
The CPP Investment Board invests the funds not needed by the Canada Pension Plan to pay current benefits on behalf of 17 million Canadian contributors and beneficiaries. In order to build a diversified portfolio of CPP assets, the CPP Investment Board is investing in publicly-traded stocks, private equities, real estate, inflation-linked bonds, infrastructure and fixed income. The CPP Investment Board is accountable to Parliament and the federal and provincial finance ministers. Based in Toronto, the CPP Investment Board is governed and managed independently of the Canada Pension Plan and at arm's length from governments. At September 30, 2007, the CPP Fund totaled $121.3 billion. For more information about the CPP Investment Board, visit www.cppib.ca. For further information contact: Joel Kranc
Manager Communications 
(416) 874-5163 
jkranc@cppib.ca {:}{:fr}10 décembre 2007 Le 10e anniversaire des réformes du RPC souligné à l’occasion d’une conférence 
de l’Institut C.D. Howe aujourd’hui Toronto (Ontario), le 10 décembre 2007 — L’Office d’investissement du RPC, organisme de gestion de placements chargé d’investir l’actif de la caisse de retraite nationale du Canada, a souligné aujourd’hui la réussite des réformes du Régime de pensions du Canada (RPC) adoptées en 1997 et la solidité de la structure de gouvernance unique dont il s’est doté. Les commentaires ont été formulés aujourd’hui à l’occasion d’une conférence de l’Institut C.D. Howe, à Toronto, marquant le 10e anniversaire des réformes du RPC. 

Dans son allocution d’ouverture, David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du RPC, a affirmé que les réformes du RPC adoptées au milieu des années 90 sont une réalisation audacieuse et visionnaire citée en exemple dans le monde entier. « La caisse du RPC est passée d’un portefeuille hérité d’une valeur de 35 milliards de dollars, composé de d’obligations gouvernementales, à un portefeuille très diversifié dont l’actif, placé pour le compte de 17 millions de travailleurs et de retraités du Canada, s’élève à plus de 121 milliards de dollars », explique-t-il. 

M. Denison a aussi expliqué que des pays du monde entier ont étudié le modèle canadien afin de trouver des solutions aux difficultés auxquelles fait face leur propre régime de retraite. « La situation actuelle, les besoins et le désir de changement de ces pays en ce qui a trait à leur régime de retraite diffèrent, a-t-il fait remarquer, mais tous reconnaissent la rigueur et l’intégrité qui caractérisent les réformes adoptées au Canada, de même que leur réussite. Les décideurs qui ont élaboré les judicieuses réformes du RPC doivent se réjouir de constater que, 10 ans plus tard, leur travail est une référence dans le monde entier. » 

Gail Cook-Bennett, présidente du conseil fondatrice et présidente du conseil actuelle de l’Office d’investissement du RPC, a aussi pris la parole durant la conférence. Elle a rappelé la mission énoncée par les artisans de la réforme en 1997 et a parlé du modèle de gouvernance novateur de l’Office. « Cette mission, à l’origine, n’était pas de créer un modèle de gouvernance de renommée mondiale, mais un organisme de placement de premier ordre, capable de rivaliser avec les leaders du secteur privé dans le respect des obligations redditionnelles rigoureuses du secteur public », a-t-elle affirmé. 

Mme Cook-Bennett a également décrit les principales caractéristiques ayant contribué à la réussite du modèle de gouvernance : l’exercice des activités de l’Office sans lien de dépendance avec les gouvernements, une équipe de direction expérimentée qui relève d’un conseil d’administration indépendant et non du gouvernement, la clarté du mandat lié exclusivement au placement et un degré élevé de transparence. De plus, l’Office investit les cotisations versées au RPC, et non des recettes fiscales. 

Ces éléments constituent, selon Mme Cook-Bennett, les principales différences entre le régime de retraite national du Canada et les fonds souverains créés ailleurs dans le monde. L’Office d’investissement du RPC ne correspond donc aucunement aux définitions de fonds souverain. « Ces différences deviendront déterminantes au cours des mois et des années à venir, puisque les gouvernements de nombreux pays songent à imposer des mesures plus strictes pour les placements étrangers, en particulier pour les fonds d’État, explique Mme Cook-Bennett. Le fait que le Régime de pensions du Canada se porte aussi bien est à la fois un hommage aux réformes et, par le fait même, à leurs artisans du milieu des années 90, et un avantage indéniable pour le Canada. » 
 L’Office d’investissement du RPC 
L’Office place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le Régime de pensions du Canada (RPC) n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. L’Office est responsable devant le Parlement du Canada et les ministres des finances fédéral et provinciaux. Son siège social se trouve à Toronto et sa gouvernance et sa gestion sont distinctes de celles du Régime de pensions du Canada. Il n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Au 30 septembre 2007, la caisse du RPC s’élevait à 121,3 milliards de dollars. Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’Office, consultez le site www.oirpc.ca. Joel Kranc
Directeur des communications 
416 874-5163
 jkranc@cppib.ca {:}

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