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12 décembre 2002

Nota : Toutes les sommes sont exprimées en dollars canadiens.

TORONTO (le 12 décembre 2002) – L’Office d’investissement du RPC a annoncé aujourd’hui qu’il avait décidé de publier de l’information plus détaillée sur ses placements en actions de sociétés fermées afin que le public canadien comprenne mieux quel est le rendement de cette catégorie d’actif.

En mai dernier, l’Office a fait preuve de leadership en matière d’information en affichant dans son site Web des renseignements sur ses placements en actions de sociétés fermées, y compris une description de tous les commandités auxquels il avait affecté du capital et le montant investi dans chaque fonds éré.

Il va maintenant plus loin en publiant tous les trimestres le montant affecté à chaque fonds et le capital déjà prélevé par chacun, ainsi que la valeur déclarée par le gestionnaire de fonds et les distributions reçues par l’Office.

« Un débat secoue actuellement le secteur nord-américain des caisses de retraite quant à l’information à publier sur le rendement, étant donné la complexité et, selon certains, le caractère secret des placements en actions de sociétés fermées », a constaté Mark Weisdorf, qui occupe à l’Office le poste de vice-président – placements sur les marchés privés. « Pour compliquer encore les choses, les ententes de non-divulgation restreignent encore inévitablement l’information qui peut être publiée. Nous pensons néanmoins que les Canadiens ont le droit d’en savoir davantage sur nos placements en actions de sociétés fermées, et nous leur donnerons le plus d’information possible à ce sujet. »

L’Office détient des participations dans des portefeuilles constitués de centaines de sociétés fermées du Canada, des États-Unis et d’Europe. Il s’agit de participations dans des sociétés en commandite, qui sont détenues avec d’autres investisseurs. Les gestionnaires de fonds décident, au nom de tous les participants, dans quelles sociétés investir et quand vendre les placements.

Les ententes de non-divulgation permettent aux gestionnaires de fonds de protéger les renseignements qui, à leur avis, leur confèrent un avantage concurrentiel dans la recherche, l’analyse, le financement et le soutien d’entreprises susceptibles de devenir des sociétés importantes et rentables. Le respect de ces ententes est une condition de participation. (L’Office honore toutes les ententes de ce genre.)

M. Weisdorf a précisé que l’Office ne publiait pas le taux de rendement interne (TRI) intermédiaire parce que ce n’est pas le meilleur indicateur du rendement actuel d’un fonds ni de ce que sera son rendement sur sa durée de vie totale. « Nous privilégions plutôt le taux de rendement en termes d’encaisse, ou TRI réalisé, et le multiple des distributions reçues par rapport au capital d’apport sur la durée de vie du fonds. » En général, il faut entre 10 et 12 ans pour réaliser la pleine valeur des placements en actions de sociétés fermées.

Il a ajouté que les valeurs déclarées des fonds de capitaux propres ne sont pas comparables pour diverses raisons. Un fonds de création récente peut en être encore au stade où les coûts ont un effet défavorable important sur les résultats des premières années. Un autre peut avoir décidé de se départir de certaines entreprises et d’en distribuer le produit net aux investisseurs. Les valeurs déclarées sont aussi influencées par le cycle de rendement des différents secteurs où les fonds sont investis, comme la technologie, par opposition à la fabrication.

De plus, il n’existe pas de normes, pratiques ou conventions généralement reconnues de présentation de la valeur des actions de sociétés fermées, et les commandités utilisent donc des méthodes d’évaluation et des conventions comptables différentes.

Jusqu’à présent, l’Office a affecté 4,9 milliards de dollars à 33 sociétés en commandite gérées par 28 sociétés de financement par capitaux propres. Au 30 septembre 2002, 850 millions de dollars avaient été investis, contre 15,8 milliards de dollars placés dans des actions des sociétés ouvertes, de manière à reproduire des indices boursiers. Le rendement des actions de sociétés fermées devrait être supérieur, à long terme, à celui des actions de sociétés ouvertes. Jusqu’à 15 pour cent de l’actif placé dans des actions a été affecté à des placements dits « alternatifs », tels que les actions de sociétés fermées, l’immobilier et l’infrastructure.

L’Office d’investissement du RPC, créé en décembre 1997, est une société d’État qui investit les fonds dont le Régime de pensions du Canada n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Les rentrées de fonds sont placées dans des actions afin de compenser le portefeuille d’obligations détenu par le Régime de pensions du Canada. En augmentant la valeur de ces fonds à long terme, l’Office aidera le Régime de pensions du Canada à tenir la promesse de pensions faite à la population canadienne. L’Office, qui a son siège social à Toronto et dont la gouvernance et la gestion sont distinctes de celles du Régime de pensions du Canada, n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements.

Pour de plus amples renseignements, s’adresser à :
Mark Weisdorf
Vice-président – Placements sur les marchés privés
416 868-1538
 www.oirpc.ca

{:en}December 12, 2002 Note: All financial numbers are in Canadian dollars The CPP Investment Board announced today that it has expanded its public disclosure on private equity so that Canadians can better understand how this asset class performs. Last May, the CPP Investment Board took a leadership position on disclosure by posting on its web site information about private equity investing, including descriptions of all general partners to whom it has committed capital and how much is invested in each fund managed. It has now gone further by disclosing quarterly by fund the commitment and capital drawn as well as the reported value by the fund manager and distributions received by the CPP Investment Board. "The North American pension fund industry is in turmoil over what to disclose on performance, recognizing that private equity investing is complex and considered by some to be secretive," commented Mark Weisdorf, CPP Investment Board's vice president of private market investments. "To complicate matters, a good deal of desired disclosure is necessarily limited by confidentiality agreements. Nonetheless, we believe Canadians have the right to know more about our private equity investments and we will disclose as much as we can." The CPP Investment Board has interests in portfolios that contain hundreds of private companies in Canada, the United States and Europe. These interests are held in limited partnerships with other investors. The fund managers decide on behalf of investors which companies to invest in and when to sell. Confidentiality agreements enable fund managers to protect information that gives them a competitive advantage in identifying, analyzing, investing in and nurturing ventures that could grow into large and profitable corporations. Compliance with these agreements is a condition of participation. (The CPP Investment Board honours all such agreements). The CPP Investment Board does not disclose interim internal rates of return (IRRs) because they are not the best indicators of how a fund is performing and will perform over its full life, Mr. Weisdorf said. "We emphasize cash-on-cash returns, or realized IRRs, and the multiple of distributions received relative to capital contributed over the life of the fund." Generally, private equity investments take 10 to 12 years to realize full value. He noted that the reported values of private equity funds are not comparable for a variety of factors. One fund may be in the formative stage, where costs have a larger negative impact on results in the initial years. Another fund may be divesting companies and distributing the net proceeds to investors. Reported values are also influenced by the performance cycle of the different industries in which funds are invested, such as technology versus manufacturing. Furthermore, there are no generally accepted standards, practices or policies for reporting private equity valuations and general partners use different valuation and accounting policies and practices. The CPP Investment Board has committed $4.9 billion to 33 limited partnerships managed by 28 private equity firms. As of September 30, 2002, $850 million has been invested, compared with $15.8 billion in public equities that replicate stock indexes. Private equity is expected to produce higher returns than public equity over the long term. Up to 15 percent of total equity assets has been allocated to alternative investments such as private equity, real estate and infrastructure assets. Created in December 1997, the CPP Investment Board is a crown corporation that invests funds not needed by the Canada Pension Plan to pay current pensions. Cash flows are invested in equities to balance the bond portfolio owned by the Canada Pension Plan. By increasing the long-term value of funds, the CPP Investment Board will help the Plan to keep its pension promise to Canadians. Located in Toronto, the CPP Investment Board is governed and managed independently of the Canada Pension Plan and at arm's length from governments.  For further information contact: Mark Weisdorf Vice President - Private Market Investments 416-868-1538     {:}{:fr}12 décembre 2002 Nota : Toutes les sommes sont exprimées en dollars canadiens. TORONTO (le 12 décembre 2002) - L'Office d'investissement du RPC a annoncé aujourd'hui qu'il avait décidé de publier de l'information plus détaillée sur ses placements en actions de sociétés fermées afin que le public canadien comprenne mieux quel est le rendement de cette catégorie d'actif. En mai dernier, l'Office a fait preuve de leadership en matière d'information en affichant dans son site Web des renseignements sur ses placements en actions de sociétés fermées, y compris une description de tous les commandités auxquels il avait affecté du capital et le montant investi dans chaque fonds éré. Il va maintenant plus loin en publiant tous les trimestres le montant affecté à chaque fonds et le capital déjà prélevé par chacun, ainsi que la valeur déclarée par le gestionnaire de fonds et les distributions reçues par l'Office. « Un débat secoue actuellement le secteur nord-américain des caisses de retraite quant à l'information à publier sur le rendement, étant donné la complexité et, selon certains, le caractère secret des placements en actions de sociétés fermées », a constaté Mark Weisdorf, qui occupe à l'Office le poste de vice-président - placements sur les marchés privés. « Pour compliquer encore les choses, les ententes de non-divulgation restreignent encore inévitablement l'information qui peut être publiée. Nous pensons néanmoins que les Canadiens ont le droit d'en savoir davantage sur nos placements en actions de sociétés fermées, et nous leur donnerons le plus d'information possible à ce sujet. » L'Office détient des participations dans des portefeuilles constitués de centaines de sociétés fermées du Canada, des États-Unis et d'Europe. Il s'agit de participations dans des sociétés en commandite, qui sont détenues avec d'autres investisseurs. Les gestionnaires de fonds décident, au nom de tous les participants, dans quelles sociétés investir et quand vendre les placements. Les ententes de non-divulgation permettent aux gestionnaires de fonds de protéger les renseignements qui, à leur avis, leur confèrent un avantage concurrentiel dans la recherche, l'analyse, le financement et le soutien d'entreprises susceptibles de devenir des sociétés importantes et rentables. Le respect de ces ententes est une condition de participation. (L'Office honore toutes les ententes de ce genre.) M. Weisdorf a précisé que l'Office ne publiait pas le taux de rendement interne (TRI) intermédiaire parce que ce n'est pas le meilleur indicateur du rendement actuel d'un fonds ni de ce que sera son rendement sur sa durée de vie totale. « Nous privilégions plutôt le taux de rendement en termes d'encaisse, ou TRI réalisé, et le multiple des distributions reçues par rapport au capital d'apport sur la durée de vie du fonds. » En général, il faut entre 10 et 12 ans pour réaliser la pleine valeur des placements en actions de sociétés fermées. Il a ajouté que les valeurs déclarées des fonds de capitaux propres ne sont pas comparables pour diverses raisons. Un fonds de création récente peut en être encore au stade où les coûts ont un effet défavorable important sur les résultats des premières années. Un autre peut avoir décidé de se départir de certaines entreprises et d'en distribuer le produit net aux investisseurs. Les valeurs déclarées sont aussi influencées par le cycle de rendement des différents secteurs où les fonds sont investis, comme la technologie, par opposition à la fabrication. De plus, il n'existe pas de normes, pratiques ou conventions généralement reconnues de présentation de la valeur des actions de sociétés fermées, et les commandités utilisent donc des méthodes d'évaluation et des conventions comptables différentes. Jusqu'à présent, l'Office a affecté 4,9 milliards de dollars à 33 sociétés en commandite gérées par 28 sociétés de financement par capitaux propres. Au 30 septembre 2002, 850 millions de dollars avaient été investis, contre 15,8 milliards de dollars placés dans des actions des sociétés ouvertes, de manière à reproduire des indices boursiers. Le rendement des actions de sociétés fermées devrait être supérieur, à long terme, à celui des actions de sociétés ouvertes. Jusqu'à 15 pour cent de l'actif placé dans des actions a été affecté à des placements dits « alternatifs », tels que les actions de sociétés fermées, l'immobilier et l'infrastructure. L'Office d'investissement du RPC, créé en décembre 1997, est une société d'État qui investit les fonds dont le Régime de pensions du Canada n'a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Les rentrées de fonds sont placées dans des actions afin de compenser le portefeuille d'obligations détenu par le Régime de pensions du Canada. En augmentant la valeur de ces fonds à long terme, l'Office aidera le Régime de pensions du Canada à tenir la promesse de pensions faite à la population canadienne. L'Office, qui a son siège social à Toronto et dont la gouvernance et la gestion sont distinctes de celles du Régime de pensions du Canada, n'a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Pour de plus amples renseignements, s'adresser à :
Mark Weisdorf
Vice-président - Placements sur les marchés privés
416 868-1538
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