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23 juin 2008

L’actuaire en chef du Canada affirme que le Régime sera viable pendant la période de 75 ans visée par son rapport. 


CALGARY, ALBERTA (le 23 juin 2008) – Les deux tiers des Canadiens ne savent toujours pas que le Régime de pensions du Canada (RPC) a fait l’objet d’une réforme il y a 10 ans et que sa viabilité à long terme est assurée par une caisse de 123 milliards de dollars. 

Dans le cadre d’un récent sondage réalisé par [Ipsos Reid], 66 % des Albertains ont affirmé ne pas savoir que les ministres des Finances fédéral et provinciaux avaient réformé le RPC. 

En outre, le sondage a révélé que plus du tiers des Albertains et un peu plus de 40 pour cent des autres Canadiens de l’Ouest croyaient que les fonds du RPC seraient épuisés à leur retraite. 

Aujourd’hui, s’adressant à l’Institute of Corporate Directors à Calgary, David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du RPC, a souligné que le Régime sera viable pendant la période de 25 ans visée par les prévisions de l’actuaire en chef du Canada. Selon ces prévisions, les cotisations au RPC devraient être supérieures aux prestations versées jusqu’à la fin de 2019, ce qui laisse un délai de 12 ans avant qu’une partie du revenu de placement serve à financer les prestations du RPC. 

M. Denison a également fait part des cinq questions que les Canadiens posent le plus relativement au RPC : 


•    Pourrai-je toucher des prestations du RPC lorsque je prendrai ma retraite?

•    L’Office d’investissement du RPC peut-il vraiment prendre des décisions de •    placement en toute indépendance du gouvernement? 

•     Pourquoi investir autant à l’étranger, surtout lorsque l’économie canadienne se comporte mieux que la plupart des autres économies? 

•    Pourquoi ne pas investir seulement dans des placements indiciels passifs, plutôt que dans les infrastructures, l’immobilier et les actions de sociétés fermées, notamment? 

•     Quelles mesures avez-vous prises en matière d’investissement responsable?

M. Denison a réfuté quelques mythes auxquels croient encore certains Canadiens de l’Ouest à propos du RPC. Il est d’avis que les Canadiens seraient plus sereins à l’égard de la santé du RPC s’ils étaient mieux informés de sa réussite, citant à nouveau l’actuaire en chef du Canada qui estime que la valeur de la caisse du RPC s’élèvera à environ 310 milliards de dollars d’ici la fin de 2019. 

Les Canadiens ne savent pas non plus que l’Office d’investissement du RPC est solidement protégé sur le plan juridique. En effet, toute modification de la loi et des règlements régissant l’Office nécessite le consentement du gouvernement fédéral et de deux tiers des provinces représentant deux tiers de la population du pays. Cette formule est plus contraignante que celle qui s’applique à une modification de la constitution du Canada. 

M. Denison a souligné que le modèle de gouvernance conçu pour l’Office permet à ce dernier d’obtenir un juste équilibre entre indépendance et obligations redditionnelles. Il a expliqué qu’en raison de son mandat exclusivement axé sur les placements et de l’absence de lien de dépendance avec les gouvernements, l’Office peut véritablement prendre des décisions en toute indépendance. 

En outre, l’Office se définissant comme un investisseur mondial dont l’objectif est d’assurer le versement futur des prestations de retraite à 17 millions de Canadiens pendant de nombreuses décennies, il investira davantage à l’étranger au fil des ans, ce qui représente un élément important de sa stratégie de diversification et de gestion des risques. Les placements au Canada constituent cependant une partie appréciable de la caisse du RPC, puisqu’ils sont d’environ 65 milliards de dollars. 




Plusieurs Canadiens se demandent également si la gestion passive est plus prudente et efficace que la gestion active. Au cours des deux derniers exercices, les stratégies de gestion active appliquées par les spécialistes de l’Office ont procuré une valeur ajoutée de plus de 5,3 milliards de dollars par rapport à l’indice de référence fondé sur le marché. M. Denison a par ailleurs ajouté que l’objectif de l’Office est de devenir un investisseur plus actif et axé sur la plus-value, à la recherche d’occasions sur les marchés mondiaux, et que cette stratégie lui permet d’exploiter les forces inhérentes à la taille de sa caisse et à son horizon de placement à long terme. 

M. Denison a conclu en mentionnant les mesures prises par l’Office dans le domaine de l’investissement responsable. La Politique en matière d’investissement responsable de l’Office lui sert de guide pour analyser dans quelle mesure les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance influent sur le risque et le rendement de ses placements. Cette politique est fondée sur l’opinion de l’Office selon laquelle le comportement responsable des entreprises à l’égard de ces facteurs peut généralement avoir une influence favorable sur le rendement financier à long terme. Cette approche est conforme aux principes d’investissement responsable des Nations Unies, à l’élaboration desquels l’Office a participé, a précisé M. Denison. 

M. Denison est à Calgary aujourd’hui pour amorcer une série d’assemblées publiques qui auront lieu partout dans l’Ouest canadien en juin. 

Au sujet de l’Office d’investissement du RPC 
L’Office d’investissement du RPC est un organisme de gestion de placements professionnel qui place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le RPC n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. Le siège social de l’Office d’investissement du RPC se trouve à Toronto, et sa gouvernance et sa gestion sont distinctes de celles du RPC. L’Office n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Au 31 mars 2008, la caisse du RPC s’élevait à 122,7 milliards de dollars canadiens. Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’Office, consultez le www.oirpc.ca.

May Chong

Directrice en chef des communications

Office d’investissement du RPC

416 868-8657

mchong@cppib.ca

{:en}June 23, 2008 Chief Actuary of Canada says plan is sustainable throughout 75-year forecast period


 CALGARY, AB (June 23, 2008) Ten years after the fact, two-thirds of western Canadians are still unaware that the Canada Pension Plan (CPP) has been successfully reformed and is supported by a $123 billion fund designed to help sustain the plan for the long term. 

In a recent Ipsos Reid survey, 66% of Albertans said they were unaware of the successful reform of the CPP by the federal and provincial finance ministers. 

Further, the survey shows more than a third of Albertans and slightly more than 40% of the rest of western Canada felt the CPP would be out of money when they retired. 

In remarks to the Institute of Corporate Directors in Calgary today, David Denison, President and CEO of the CPP Investment Board, emphasized that the plan is sustainable throughout the 75-year period of the Chief Actuary of Canada’s forecast. CPP contributions are expected to exceed annual benefits paid through to the end of 2019, providing a 12-year period before a portion of the investment income is needed to help pay CPP benefits. 

In his remarks, Mr. Denison identified the five most common questions Canadians have regarding the CPP: •    Will my pension be there for me when I retire? •    Can the Canada Pension Plan Investment Board really make investment decisions independently from government?  •    Why invest so much internationally, especially when the Canadian economy is doing better than many other countries?  •     Why don’t you just invest in passive, indexed investments, rather than pursue programs such as infrastructure, real estate and private equity?  •     What are you doing in the area of responsible investing? Mr. Denison dispelled the myths some western Canadians hold to be true about the CPP. He said that Canadians would rest easier about the health of the CPP if they were more aware of its success story, again pointing to the Chief Actuary of Canada who estimates the CPP Fund will grow to approximately $310 billion at the end of 2019. 

Canadians are also unaware that the CPP Investment Board is protected by strong legal safeguards. The safeguards are so strong they require the agreement of two-thirds of the provinces with two-thirds of the population and the federal government to amend legislation or regulations governing the CPP Investment Board. This formula is more stringent than the amending formula of the Constitution of Canada and reflects a high standard of required consensus. 

Mr. Denison stressed how the CPP Investment Board was created with a unique governance model that strikes an effective balance between independence and accountability. He explained that the investment-only mandate and arm’s-length status from governments allow the CPP Investment Board to make decisions that are truly independent. 

Also, as a global investor helping to secure the future pensions of 17 million Canadians for generations and decades, Mr. Denison added the CPP Investment Board will be increasing investments globally over time as a key part of its diversification and risk management strategy. However investments in Canada are a large part of the Fund, with approximately $65 billion invested at home. 

Another question some Canadians have posed is whether passive investing is more prudent and effective than active investing. Active management strategies by investment professionals at the CPP Investment Board have delivered more than $5.3 billion in added value above the market-based benchmark over the past two fiscal years. Mr. Denison noted that the objective is to be a more active, value-added investor seeking opportunities in global markets, which plays to the inherent strengths of size and a long investment horizon of the CPP Investment Board. 

A final point made by Mr. Denison reflected the steps being taken by the CPP Investment Board in the area of responsible investing. The CPP Investment Board’s Policy on Responsible Investing is the roadmap by which it assesses environmental, social and governance (ESG) factors as they affect the risk and return parameters of underlying investments. This is guided by the belief that responsible corporate behaviour with respect to ESG factors can generally have a positive influence on long-term financial performance. The approach is consistent with the United Nations Principles for Responsible Investment which the CPP Investment Board helped formulate, Mr. Denison added. 

Mr. Denison is in Calgary today to begin the first leg of a series of public meetings across western Canada in June. About the CPP Investment Board 
The CPP Investment Board is a professional investment management organization that invests the funds not needed by the Canada Pension Plan to pay current benefits on behalf of 17 million Canadian contributors and beneficiaries. In order to build a diversified portfolio of CPP assets, the CPP Investment Board is investing in public equities, private equities, real estate, inflation-linked bonds, infrastructure and fixed income instruments. Headquartered in Toronto, the CPP Investment Board is governed and managed independently of the Canada Pension Plan and at arm's length from governments. At March 31, 2008 the CPP Fund totaled C$122.7 billion. For more information about the CPP Investment Board, visit www.cppib.ca. For further information contact: May Chong Director, Communications CPP Investment Board (416) 868-8657  mchong@cppib.ca     {:}{:fr}23 juin 2008 L’actuaire en chef du Canada affirme que le Régime sera viable pendant la période de 75 ans visée par son rapport. 


CALGARY, ALBERTA (le 23 juin 2008) – Les deux tiers des Canadiens ne savent toujours pas que le Régime de pensions du Canada (RPC) a fait l’objet d’une réforme il y a 10 ans et que sa viabilité à long terme est assurée par une caisse de 123 milliards de dollars. 

Dans le cadre d’un récent sondage réalisé par [Ipsos Reid], 66 % des Albertains ont affirmé ne pas savoir que les ministres des Finances fédéral et provinciaux avaient réformé le RPC. 

En outre, le sondage a révélé que plus du tiers des Albertains et un peu plus de 40 pour cent des autres Canadiens de l’Ouest croyaient que les fonds du RPC seraient épuisés à leur retraite. 

Aujourd’hui, s’adressant à l’Institute of Corporate Directors à Calgary, David Denison, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du RPC, a souligné que le Régime sera viable pendant la période de 25 ans visée par les prévisions de l’actuaire en chef du Canada. Selon ces prévisions, les cotisations au RPC devraient être supérieures aux prestations versées jusqu’à la fin de 2019, ce qui laisse un délai de 12 ans avant qu’une partie du revenu de placement serve à financer les prestations du RPC. 

M. Denison a également fait part des cinq questions que les Canadiens posent le plus relativement au RPC : 
 •    Pourrai-je toucher des prestations du RPC lorsque je prendrai ma retraite? •    L’Office d’investissement du RPC peut-il vraiment prendre des décisions de •    placement en toute indépendance du gouvernement?  •     Pourquoi investir autant à l’étranger, surtout lorsque l’économie canadienne se comporte mieux que la plupart des autres économies?  •    Pourquoi ne pas investir seulement dans des placements indiciels passifs, plutôt que dans les infrastructures, l’immobilier et les actions de sociétés fermées, notamment?  •     Quelles mesures avez-vous prises en matière d’investissement responsable? M. Denison a réfuté quelques mythes auxquels croient encore certains Canadiens de l’Ouest à propos du RPC. Il est d’avis que les Canadiens seraient plus sereins à l’égard de la santé du RPC s’ils étaient mieux informés de sa réussite, citant à nouveau l’actuaire en chef du Canada qui estime que la valeur de la caisse du RPC s’élèvera à environ 310 milliards de dollars d’ici la fin de 2019. 

Les Canadiens ne savent pas non plus que l’Office d’investissement du RPC est solidement protégé sur le plan juridique. En effet, toute modification de la loi et des règlements régissant l’Office nécessite le consentement du gouvernement fédéral et de deux tiers des provinces représentant deux tiers de la population du pays. Cette formule est plus contraignante que celle qui s’applique à une modification de la constitution du Canada. 

M. Denison a souligné que le modèle de gouvernance conçu pour l’Office permet à ce dernier d’obtenir un juste équilibre entre indépendance et obligations redditionnelles. Il a expliqué qu’en raison de son mandat exclusivement axé sur les placements et de l’absence de lien de dépendance avec les gouvernements, l’Office peut véritablement prendre des décisions en toute indépendance. 

En outre, l’Office se définissant comme un investisseur mondial dont l’objectif est d’assurer le versement futur des prestations de retraite à 17 millions de Canadiens pendant de nombreuses décennies, il investira davantage à l’étranger au fil des ans, ce qui représente un élément important de sa stratégie de diversification et de gestion des risques. Les placements au Canada constituent cependant une partie appréciable de la caisse du RPC, puisqu’ils sont d’environ 65 milliards de dollars. 
 

Plusieurs Canadiens se demandent également si la gestion passive est plus prudente et efficace que la gestion active. Au cours des deux derniers exercices, les stratégies de gestion active appliquées par les spécialistes de l’Office ont procuré une valeur ajoutée de plus de 5,3 milliards de dollars par rapport à l’indice de référence fondé sur le marché. M. Denison a par ailleurs ajouté que l’objectif de l’Office est de devenir un investisseur plus actif et axé sur la plus-value, à la recherche d’occasions sur les marchés mondiaux, et que cette stratégie lui permet d’exploiter les forces inhérentes à la taille de sa caisse et à son horizon de placement à long terme. 

M. Denison a conclu en mentionnant les mesures prises par l’Office dans le domaine de l’investissement responsable. La Politique en matière d’investissement responsable de l’Office lui sert de guide pour analyser dans quelle mesure les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance influent sur le risque et le rendement de ses placements. Cette politique est fondée sur l’opinion de l’Office selon laquelle le comportement responsable des entreprises à l’égard de ces facteurs peut généralement avoir une influence favorable sur le rendement financier à long terme. Cette approche est conforme aux principes d’investissement responsable des Nations Unies, à l’élaboration desquels l’Office a participé, a précisé M. Denison. 

M. Denison est à Calgary aujourd’hui pour amorcer une série d’assemblées publiques qui auront lieu partout dans l’Ouest canadien en juin. 

Au sujet de l’Office d’investissement du RPC 
L’Office d’investissement du RPC est un organisme de gestion de placements professionnel qui place, pour le compte de 17 millions de cotisants et de bénéficiaires canadiens, les fonds dont le RPC n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Afin de diversifier le portefeuille du RPC, l’Office investit dans des actions de sociétés cotées en Bourse, des actions de sociétés fermées, des biens immobiliers, des obligations indexées sur l’inflation, des infrastructures et des titres à revenu fixe. Le siège social de l’Office d’investissement du RPC se trouve à Toronto, et sa gouvernance et sa gestion sont distinctes de celles du RPC. L’Office n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. Au 31 mars 2008, la caisse du RPC s’élevait à 122,7 milliards de dollars canadiens. Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’Office, consultez le www.oirpc.ca. May Chong Directrice en chef des communications Office d’investissement du RPC 416 868-8657 mchong@cppib.ca {:}

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