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20 janvier 2004

Calgary (le 20 janvier 2004) : Dans une allocution qu’il a prononcée devant la chambre de commerce de Calgary ce matin, John MacNaughton, président et chef de la direction de l’Office d’investissement du Régime de pensions du Canada, a demandé au secteur des services financiers de l’aider à dissiper le mythe selon lequel le RPC va manquer d’argent.

« Beaucoup de Canadiens ne savent pas que nous nous employons actuellement à consolider la réserve du Régime de pensions du Canada, a déclaré M. MacNaughton. Étant donné l’attention accordée à la crise du Régime de pensions du Canada en 1996, il n’est peut-être pas surprenant que de nombreux Canadiens s’inquiètent encore que le RPC ne soit plus là lorsqu’ils prendront leur retraite. »

Le RPC est un régime national de rente qui est censé fournir une partie du revenu de retraite des Canadiens, le reste provenant des régimes de retraite d’employeur et des régimes d’épargne-retraite enregistrés. « J’en appelle aujourd’hui au secteur des services financiers, pour qu’il nous aide à dissiper le mythe alarmiste selon lequel le RPC ne sera pas là pour les Canadiens, a dit M. MacNaughton. En tant que planificateurs financiers et conseillers en placement au service de millions de Canadiens, les représentants de ce secteur sont particulièrement bien placés pour faire passer cet important message. »

« La question qu’on me pose le plus souvent est la suivante : ‘Y aura-t-il encore de l’argent quand je prendrai ma retraite?’ La réponse est oui, l’argent sera là », a-t-il poursuivi.

Voici quelques-unes des raisons pour lesquelles on peut compter sur le RPC.

•  En 1997, le RPC a fait l’objet d’une réforme visant à éviter une crise de capitalisation.

•  L’actuaire en chef du Canada, qui examine la solidité du RPC tous les trois ans, a dit, dans son rapport de 2000, que le régime, tel qu’il est actuellement constitué, est financièrement viable pour au moins 75 ans.

•  La valeur du fonds de réserve du RPC, qui était de 36,4 milliards de dollars en 1997, s’élève aujourd’hui à 64,4 milliards de dollars et continuera de s’accroître pour atteindre le chiffre estimatif de 160 milliards de dollars d’ici une dizaine d’années. Cette croissance résulte de la combinaison des cotisations nettes et du revenu de placement.

•  Au taux actuel de cotisation, les rentrées de fonds du RPC seront supérieures aux sommes nécessaires pour payer les prestations pendant les 17 ou 18 prochaines années. Cela permet au RPC de structurer un portefeuille plus à même de produire un rendement accru qu’une caisse de retraite qui a besoin dès aujourd’hui d’un revenu pour payer les prestations de retraite.

Dans son allocution intitulée « Le défi d’investir l’actif du RPC “, M. MacNaughton a souligné l’indépendance de l’Office vis-à-vis des gouvernements :

•  Le fonds de réserve du RPC est distinct des recettes publiques générales.

•  L’Office est indépendant des gouvernements, mais il doit rendre des comptes au Parlement et appartient aux 16 millions de Canadiens auxquels sont promises des retraites futures.

•  La loi confère à l’Office des pouvoirs qui renforcent la séparation entre les gouvernements et les professionnels du placement. Les administrateurs nomment le chef de la direction et approuvent les principales politiques, sans intervention d’ordre politique.

•  Les professionnels de l’Office gèrent l’actif de manière prudente en vue d’un rendement maximal tout en évitant des risques indus. Ils continuent à diversifier le fonds : outre des obligations d’État, celui-ci comprend désormais des actions de sociétés cotées en bourse, des actions de sociétés fermées, de l’immobilier, du capital-risque et, depuis tout récemment, de l’infrastructure.

M. MacNaughton a ajouté que l’Office, qui est l’un des plus importants actionnaires du Canada, continuerait d’user de son influence à ce titre pour encourager les sociétés à adopter de bonnes pratiques de gouvernance.

Le texte de l’allocution prononcée devant la chambre de commerce de Calgary se trouve dans le site Web de l’Office, à l’adresse www.oirpc.ca.

L’Office d’investissement du RPC L’Office d’investissement du RPC, créé en décembre 1997, est une société d’État qui investit les fonds dont le Régime de pensions du Canada n’a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Les rentrées de fonds sont placées dans des actions et de l’immobilier afin de compenser le portefeuille d’obligations détenu par le Régime de pensions du Canada. En augmentant la valeur de ces fonds à long terme, l’Office aidera le Régime de pensions du Canada à tenir la promesse de pensions faite à la population canadienne. L’Office, qui a son siège social à Toronto et dont la gouvernance et la gestion sont distinctes de celles du Régime de pensions du Canada, n’a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. On trouvera plus de détails sur l’Office à l’adresse www.oirpc.ca.

Pour de plus amples renseignements, s’adresser à : 

John Cappelletti
Directeur – Communications et relations avec les intéressés
416 868-0308
 jcappelletti@cppib.ca

{:en}January 20, 2004 As part of a speech to the Calgary Chamber of Commerce this morning, John MacNaughton, President and CEO of the CPP Investment Board, called on the financial services industry to help dispel the myth that the CPP will run out of money. "Many Canadians are unaware that we are now building the Canada Pension Plan's reserve assets," said MacNaughton. "Given the high profile news of the Canada Pension Plan's crisis back in 1996, perhaps it isn't surprising that many Canadians are still concerned that the CPP won't be there when they retire." The CPP is a national pension scheme intended as a building block of the total retirement income of Canadians that includes employer-sponsored pensions and registered retirement savings. "Today I am calling on the financial services industry to help us dispel the unsettling myth that the CPP won't be there for Canadians," said MacNaughton. "As financial planners and investment advisors to millions of Canadians they're ideally positioned to deliver this important message."

"The question I am asked most frequently is: 'Will the money be there when I retire?' The answer is yes, the money will be there," said MacNaughton. 

Here are some reasons why the CPP will be around: •    The CPP was reformed in 1997 to stave off a funding crisis. •    The Chief Actuary of Canada, who reviews the health of the CPP every three years, said in his 2000 report that CPP, as currently constituted, is sound for at least 75 years. •    The reserve fund of the CPP has grown from $36.4 billion in 1997 to $64.4 billion today, and will continue to grow to an estimated $160 billion within a decade. The growth is due to the combination of net contributions and investment income. •    At the current contribution rate, more money will flow into the CPP than is needed to pay pensions for the next 17 to 18 years. This allows the CPP to structure a portfolio better able to generate increased returns than a pension fund that needs income today to pay pension benefits. The growing long-term value of this portfolio will help to pay future CPP benefits. In his speech entitled, "The Challenge of Investing CPP Assets," MacNaughton underscored the CPP Investment Board's arms-length relationship to governments: •    The CPP reserve fund is segregated from general government revenue. •    The CPP Investment Board is independent of governments but accountable to Parliament and belongs to 16 million Canadians through the promise of future pensions. •    Legislation gives the CPP Investment Board the power to reinforce a buffer between governments and the investment professionals. The directors appoint the CEO and approve major policies, free of any political involvement. •    The CPP Investment Board professionals are prudently managing CPP assets to maximize returns without undue risk. They continue to diversify the fund from government bonds to include publicly traded companies, private equity, real estate, venture capital and, most recently, infrastructure. MacNaughton also said the CPP Investment Board will continue to use its influence as one of the largest shareholders in Canada to encourage good governance practices by corporations. 

The speech to the Calgary Chamber of Commerce is available from the CPP Investment Board website, www.cppib.ca

CPP Investment Board
Created in December 1997, the CPP Investment Board is a crown corporation that invests funds not needed by the Canada Pension Plan to pay current pensions. Cash flows are invested in equities and real estate to balance the bond portfolio owned by the Canada Pension Plan. By increasing the long-term value of funds, the CPP Investment Board will help the Canada Pension Plan to keep its pension promise to Canadians. Located in Toronto, the CPP Investment Board is governed and managed independently of the Canada Pension Plan and at arm's length from governments. For more information on the CPP Investment Board, visit www.cppib.ca.        For further information contact: John Cappelletti Manager - Communications and Stakeholder Relations 416-868-0308 {:}{:fr}20 janvier 2004 Calgary (le 20 janvier 2004) : Dans une allocution qu'il a prononcée devant la chambre de commerce de Calgary ce matin, John MacNaughton, président et chef de la direction de l'Office d'investissement du Régime de pensions du Canada, a demandé au secteur des services financiers de l'aider à dissiper le mythe selon lequel le RPC va manquer d'argent. « Beaucoup de Canadiens ne savent pas que nous nous employons actuellement à consolider la réserve du Régime de pensions du Canada, a déclaré M. MacNaughton. Étant donné l'attention accordée à la crise du Régime de pensions du Canada en 1996, il n'est peut-être pas surprenant que de nombreux Canadiens s'inquiètent encore que le RPC ne soit plus là lorsqu'ils prendront leur retraite. » Le RPC est un régime national de rente qui est censé fournir une partie du revenu de retraite des Canadiens, le reste provenant des régimes de retraite d'employeur et des régimes d'épargne-retraite enregistrés. « J'en appelle aujourd'hui au secteur des services financiers, pour qu'il nous aide à dissiper le mythe alarmiste selon lequel le RPC ne sera pas là pour les Canadiens, a dit M. MacNaughton. En tant que planificateurs financiers et conseillers en placement au service de millions de Canadiens, les représentants de ce secteur sont particulièrement bien placés pour faire passer cet important message. » « La question qu'on me pose le plus souvent est la suivante : 'Y aura-t-il encore de l'argent quand je prendrai ma retraite?' La réponse est oui, l'argent sera là », a-t-il poursuivi. Voici quelques-unes des raisons pour lesquelles on peut compter sur le RPC. •  En 1997, le RPC a fait l'objet d'une réforme visant à éviter une crise de capitalisation. •  L'actuaire en chef du Canada, qui examine la solidité du RPC tous les trois ans, a dit, dans son rapport de 2000, que le régime, tel qu'il est actuellement constitué, est financièrement viable pour au moins 75 ans. •  La valeur du fonds de réserve du RPC, qui était de 36,4 milliards de dollars en 1997, s'élève aujourd'hui à 64,4 milliards de dollars et continuera de s'accroître pour atteindre le chiffre estimatif de 160 milliards de dollars d'ici une dizaine d'années. Cette croissance résulte de la combinaison des cotisations nettes et du revenu de placement. •  Au taux actuel de cotisation, les rentrées de fonds du RPC seront supérieures aux sommes nécessaires pour payer les prestations pendant les 17 ou 18 prochaines années. Cela permet au RPC de structurer un portefeuille plus à même de produire un rendement accru qu'une caisse de retraite qui a besoin dès aujourd'hui d'un revenu pour payer les prestations de retraite. Dans son allocution intitulée « Le défi d'investir l'actif du RPC ", M. MacNaughton a souligné l'indépendance de l'Office vis-à-vis des gouvernements : •  Le fonds de réserve du RPC est distinct des recettes publiques générales. •  L'Office est indépendant des gouvernements, mais il doit rendre des comptes au Parlement et appartient aux 16 millions de Canadiens auxquels sont promises des retraites futures. •  La loi confère à l'Office des pouvoirs qui renforcent la séparation entre les gouvernements et les professionnels du placement. Les administrateurs nomment le chef de la direction et approuvent les principales politiques, sans intervention d'ordre politique. •  Les professionnels de l'Office gèrent l'actif de manière prudente en vue d'un rendement maximal tout en évitant des risques indus. Ils continuent à diversifier le fonds : outre des obligations d'État, celui-ci comprend désormais des actions de sociétés cotées en bourse, des actions de sociétés fermées, de l'immobilier, du capital-risque et, depuis tout récemment, de l'infrastructure. M. MacNaughton a ajouté que l'Office, qui est l'un des plus importants actionnaires du Canada, continuerait d'user de son influence à ce titre pour encourager les sociétés à adopter de bonnes pratiques de gouvernance. Le texte de l'allocution prononcée devant la chambre de commerce de Calgary se trouve dans le site Web de l'Office, à l'adresse www.oirpc.ca. L'Office d'investissement du RPC L'Office d'investissement du RPC, créé en décembre 1997, est une société d'État qui investit les fonds dont le Régime de pensions du Canada n'a pas besoin pour verser les prestations de retraite courantes. Les rentrées de fonds sont placées dans des actions et de l'immobilier afin de compenser le portefeuille d'obligations détenu par le Régime de pensions du Canada. En augmentant la valeur de ces fonds à long terme, l'Office aidera le Régime de pensions du Canada à tenir la promesse de pensions faite à la population canadienne. L'Office, qui a son siège social à Toronto et dont la gouvernance et la gestion sont distinctes de celles du Régime de pensions du Canada, n'a pas de lien de dépendance avec les gouvernements. On trouvera plus de détails sur l'Office à l'adresse www.oirpc.ca. Pour de plus amples renseignements, s'adresser à : 

John Cappelletti
Directeur - Communications et relations avec les intéressés
416 868-0308
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